SE NOURRIR, SE DÉPLACER, LES POURBOIRES:
Bien manger et découvrir de nouveaux plats chaque jour, se déplacer dans les villes que l’on visite, donner un pourboire… sont des préoccupations quotidiennes classiques de tout voyageur au Brésil.
Pour vous aider à faire les bons choix et profiter pleinement et sereinement de vos vacances brésiliennes, nous avons élaboré pour vous cette page d’informations pratiques bien utiles. Elles vous permettront tout d’abord de découvrir comment s’organisent les repas au Brésil et que déguster suivant les différentes régions visitées. Ensuite, vous pourrez profiter de nos conseils pour vous déplacer en zone urbaine. Enfin, nous ferons un point sur la question des pourboires des guides et chauffeurs lors d’un voyage organisé.
La restauration au Brésil
Que mange-t-on au Brésil ?
Les brésiliens mangent beaucoup et régulièrement, ils sont particulièrement friands de féculents et de protéines, comme dans la plupart des pays d’Amérique Latine. Ils consomment en revanche assez peu de légumes, surtout dans la région Nordeste où l’aridité rend difficile leurs cultures. Ils commencent la journée avec un généreux petit-déjeuner, puis souvent un petit encas salé ou sucré en milieu de matinée. Le repas de midi est la réfection la plus importante avec un déjeuner complet constitué d’une protéine accompagnée de l’incontournable duo riz et haricots secs, d’un peu de salade, éventuellement des pâtes et dans la moitié nord du pays, de la farine de manioc. L’après-midi, certains prennent un goûter. Pour le dîner quelque chose de plus simple et sur le pouce comme une pizza, un hamburger, une soupe, des petiscos (tapas) si l’on sort dans un boteco (bar), ou même une glace. Le dimanche midi est souvent l’occasion d’un déjeuner en famille, le reste des repas n’est pas forcement l’occasion de se réunir tous autour d’une table.
D’une façon générale, la cuisine brésilienne est bonne, simple et généreuse, à base de viandes, de poissons grillés et de féculents. Les restaurants à l’apparence moderne sont bien équipés avec du matériel de qualité, et des contrôles d’hygiène réguliers. Les restaurants et hôtels brésiliens sont très professionnels de ce point de vue et il ne faut pas craindre de manger des crudités, des salades, jus de fruits frais ou des fruits de mer.
Attention cependant avec les vendeurs de rues ambulants où les conditions d’hygiène peuvent être moindres. On y trouve cependant toutes sortes de « street food » intéressantes à tester, mais dans le doute, mieux vaut privilégier les aliments cuits tel que les salgados, ces beignets et petite tartes fourrés au poulet, au fromage ou au jambon. Pour les boissons, exigez toujours une bouteille scellée qui sera ouverte devant vous.
Le petit-déjeuner brésilien
Les brésiliens ont l’habitude de manger de copieux petits déjeuners sucrés et salés qui satisferont toutes les envies. Dans les hôtels le buffet de petit-déjeuner brésilien est généralement composé d’un assortiment d’œufs brouillés (ovos), jambon (presunto), saucisses en sauce (salsicha), crêpe de tapioca sur demande, beurre (manteiga) et différents types de pain (pão) qui côtoient de nombreux fruits frais, des gâteaux (bolos), du lait (leite), du miel (mel) et de délicieux jus de fruits de saison (suco de frutas).
Le tout arrosé de beaucoup de café assez doux. Le thé est rare (cha – désigne aussi tout type d’infusion), on le trouve plutôt dans les hôtels destinés au public étranger et n’est pas forcément de très bonne qualité. Les inconditionnels auront avantage à emporter avec eux quelques sachets et demander de l’eau chaude (agua quente) au petit-déjeuner.
Les différents types de restaurants au Brésil
La plupart des restaurants rajoutent 10% de pourboires à la note finale. Tenez en compte, et il est quand même recommandé de vérifier sa note. Aujourd’hui pratiquement 100% des restaurants acceptent les cartes de crédit.
Les brésiliens adorent avoir un petit peu de beaucoup de choses différentes dans leurs assiettes. De ce fait, les restaurants de type buffet et service à volonté sont très populaires et il en existe de tout type, du plus simple au plus sophistiqué.
Pour les prix, comptez globalement entre 5€ et 15 € par personne pour le déjeuner et 15€ à 25€ pour le dîner dans un restaurant (hors vin qui est cher au Brésil). Avec une nuance, le Sudeste et le Centre sont globalement plus chers que le Nordeste et les restaurants haut-de-gamme font vite grimper la note (entre 15 et 30€ par plat individuel).
La churrascaria
Un des types de restaurant à volonté au Brésil à découvrir absolument est la churrascaria. C’est un restaurant où l’on sert de la viande grillée au barbecue sur de grandes broches. Il faut privilégier les Rodizio, ce sont les churrascarias qui offrent des formules « à volonté » (attention le chariot de dessert n’est pas toujours inclus). Les serveurs passent entre les tables avec les pièces de viandes pour servir les clients en découpant directement les morceaux désirés.
Les accompagnements sont présentés en buffet généralement très abondants et offrant de multiples options qui comblent aussi bien les amateurs de viandes que les autres. Pour la cuisson de la viande, on demande Mal passado (saignant) – no ponto (à point) – bem cozido (bien cuit). Un point important car les brésiliens ont plutôt tendance à manger la viande de bœuf plus cuite que les européens. Les découpes de viande de boeuf les plus prisées sont la picanha, le filet et le bife de chorizo.
Généralement les churrascarias disposent de bonnes caves à vins.
Restaurants « por quilo »
Une autre formule intéressante de buffet, les restaurants où l’on sert de la nourriture au kilo (comida por quilo). Vous prenez ce que vous voulez dans le buffet aux multiples options puis votre assiette est ensuite pesée et le prix déterminé en fonction du poids (le poids des 100g est indiqué à la caisse). Certains restaurants ont plusieurs formules et si l’on ne prend que de la viande et de la salade par exemple, le prix au kilo est un peu plus élevé.
À ne pas confondre avec la formule dite quentinha (kentinia), à base de riz (arroz), de haricots secs et de viandes de bœuf (boi ou carne bovina) ou de poulet (frango) à emporter ou non et qui est très bon marché (15 reais env. avec un verre de jus de fruit). Beaucoup de restaurants populaires proposent cette formule, vous choisissez vos accompagnements vous-même à volonté et la cuisinière sert la portion de protéine de votre choix.
Autres restaurants brésiliens
Vous trouverez également des restaurants de cuisines régionales savoureuses en particulier dans les états de Bahia, en Amazonie ou dans le Minas Gerais. Ce sont des options intéressantes pour découvrir les spécialités culinaires de chaque région du Brésil avec leurs influences indigènes, africaines et européennes plus ou moins marquées suivant les régions. Dans ces restaurants plus classiques les plats sont normalement très copieux et viennent généralement « para dois » (pour deux) avec plusieurs accompagnements.
São Paulo et Rio de Janeiro ont quelques tables gastronomiques primées et d’envergure internationale. Si vous souhaitez dîner dans un de ces restaurants de grands chefs mieux vaut réserver quelques semaines à l’avance pour garantir d’avoir une table dans les plus prisés. Le délai de tolérance pour votre table réservée en cas de retard est généralement de 20 minutes.
Les bars au Brésil
Les brésiliens sont très sociaux et sortent beaucoup le soir, que ce soit en famille ou entre amis. Ils ont donc l’habitude de manger hors de chez eux très souvent. C’est particulièrement vrai pour les nouvelles générations de la classe moyenne urbaine qui ont tendance à faire peu la cuisine. Ils achètent beaucoup de plats préparés, vont dîner plusieurs fois par semaine de pizzas, brochettes ou sandwichs dans des Lanchonetes et sortent dans des bars et restaurants régulièrement.
De ce fait, dans les grandes villes l’offre de restauration rapide est importante et les bars servent de nombreuses spécialités pour pouvoir se rassasier tout en buvant un verre. Ces dernières sont appelé petiscos et on en trouve de toutes sorte, des classiques frites de pommes de terre ou de manioc (macaxeira) au feijao verde (haricots secs cuits en sauce avec de la crème et du fromage) en passant par des viandes grillées, crevettes et petits acras fourrés au poisson ou au fromage. On y boit essentiellement de la bière blonde et légère servie en bouteille de 600 ml très fraîche et, dans une moindre mesure, de la cachaça dans son cocktail fétiche, la fameuse Caïpirinha. Le vin est cher au Brésil et la production locale facilement accessible n’est pas de qualité, en revanche on trouve d’excellents vins venus du Chili ou d’Argentine. Pour une bouteille correcte au restaurant, il faut compter 20 à 30 €.
Des restaurants de cuisines étrangères, reflets des différentes vagues d’immigration du XXe siècle se trouve dans tous le pays. Pizza et pâtes viennent des nombreux migrants italiens, installé dans le sud du pays et sont très populaires partout. La cuisine asiatique est essentiellement d’influence japonaise adaptée aux goûts brésiliens, le Brésil est le foyer de la plus grande diaspora nippone du monde. On retrouve l’influence Syro-libanaise avec les traditionnels koftes appelé Quibes et populaire dans les bars, lanchonetes et autres ambulants.
Les spécialités de la cuisine brésilienne à découvrir
Pour ce qui est des spécialités, impossible de parler du Brésil sans évoquer la délicieuse feijoada, le plat national brésilien composé de haricots noirs, de viande de porc salée et fumée, viande de bœuf et saucisses. Une recette traditionnelle cuite longuement dans des plats en terre et qui s’apparente un peu à un cassoulet français. À déguster avec du riz et des quartiers d’orange en accompagnement, comme les locaux.
C’est le plat de la rencontre entre amis ou en famille, généralement le dimanche, que l’on déguste dans la bonne humeur du nord au sud du Brésil.
Mais chaque région du Brésil a également ses spécialités, en voici quelques-unes à ne pas manquer lors de votre voyage au Brésil.
Que manger à Bahia ?
À Bahia, l’état le plus réputé pour sa cuisine aux influences africaines, ne ratez pas les délices locaux. Parmi eux, l’incontournable acarajé, un délicieux beignet traditionnel fendu et rempli de sauces, de petits légumes et de crevettes, que l’on achète dans de petits stands de rue tenue par des femmes en tenue traditionnelle immaculée et pittoresque.
La moqueca, un plat de poissons et/ou crevettes cuits dans le lait de coco et délicieusement relevé de Dendé. Cette huile traditionnelle tirée de la noix de palme locale est une autre spécialité typiquement bahianaise.
Le vatapa, crème préparée avec de la mie de pain trempée dans du lait de coco additionné de Dendé et de crevette ou de poulet est un autre plat délicieux et typiquement afro-brésilien de Bahia. Les bahianais ont également la réputation de faire les plus savoureuses sauces de piment du Brésil.
Que manger dans le Nordeste ?
Dans le reste du Nordeste, place aux poissons tropicaux grillés (peixe grelhado), aux camarão (crevettes) sautées à l’ail et autres Lagosta (langoustes), fraîchement sorties des récifs alentour. N’hésitez pas à tester les nombreux poissons délicieux avec en tête, le plus noble, le Sirigado (mérou), le préféré des locaux, le Pargo (pagre tropical à la couleur rouge caractéristique), mais aussi le peixe amarelo, le beijupira, le Ciubá et bien d’autres encore. Pour les langoustes, choisissez-les simplement grillées, c’est ainsi qu’elles révèlent le mieux toute leur saveur. Attention cependant, de décembre à Juin, leur pêche étant interdite, ce sont donc des produits congelés qui sont servis.
Une autre spécialité typique du Nordeste et des régions d’éleveurs du Brésil en général est la carne do sol, du bœuf semi séché et salé que l’on déguste bien cuit dans le Manteiga da terra (beurre liquide local). On le prépare également en escondidinho, une recette rappelant le Hachis-Parmentier, faite de carne do sol effilée et de purée d’Aipim, un type de manioc local. Accompagnez le tout de frites de manioc et de Baião de dois, du riz cuit avec des haricots secs (feijão) et du fromage doux local typique du Nordeste. À accompagner dans les zones côtières d’une rafraîchissante noix de coco verte.
Que manger en Amazonie ?
En Amazonie, vous découvrirez de nouvelles saveurs venus des rivières et de la forêt. Incontournables, les filets de Pirarucu, l’un des plus gros poissons d’eau douce au monde, sont très savoureux. Son cousin éloigné le délicieux Tambaqui et ses étonnantes dents « humaines » est un classique de la région de Manaus. On le déguste surtout « na banda » c’est-à-dire fendu en deux et grillés ou en morceaux frits.
Le Tacacá est un potage d’origine indigène que l’on trouve dans tout le bassin amazonien. Servi dans de jolies calebasses noires typiques appelées cuia, il est préparé à base de crevettes, de manioc, de gomme de tapioca et de jambù. Cette plante à la particularité de donner une sensation de légers picotements sur les lèvres et la langue. L’effet est étonnant et pas désagréable.
Au dessert, outre les innombrables fruits locaux, testez le délicieux sorbet d’Acaï aux mille vertus. Dans la région de Belém, on déguste ce fruit plutôt en soupe froide accompagnée de billes de tapioca et de poisson frit.
Le Brésil, roi des jus de fruits frais
Dans tous le Brésil, vous pouvez profiter à loisir des merveilleux jus de fruits tropicaux locaux, riches en pulpe de fruits. Ils rappellent les smoothies à la mode en Europe et sont toujours préparés avec de l’eau filtrée ou minérale, y compris les glaçons. Ce sera l’occasion de découvrir de nouvelles saveurs avec des fruits locaux aux goûts étonnants.
Nous vous recommandons particulièrement dans le Nordeste ces fruits qui n’existent nulle part ailleurs : Caja, Graviola, Acerola (plus riche fruit en vitamine C au monde), Caju (le fruit de l’arbre qui donne les noix de cajou, originaire de cette région), et siriguela. Sans oublier les délicieux classiques que l’on trouve dans tout le Brésil, Manga (mangue), Abacaxi (ananas), Laranja (orange), goiaba (goyave) et Maracuja (fruits de la passion).
Se déplacer au Brésil : taxis & Uber
Au Brésil, les transports en commun ne sont pas toujours sûrs et on peut vite se perdre car il n’y a généralement pas d’indications aux arrêts de bus avec les différentes lignes y passant, leurs horaires et trajets. Sans parler portugais, c’est vite un casse-tête. Certaines villes comme Rio de Janeiro disposent d’un réseau de métro plus facilement accessible et bien pratique pour circuler dans la zone touristique. Il est cependant déconseillé aux vacanciers d’emprunter celui-ci pour rejoindre les quartiers populaires en périphérie.
La journée, on peut se promener à pied sans problème pour peu que l’on respecte un minimum de règles de bon sens et de sécurité. D’une manière générale, en zone urbaine brésilienne, à moins d’être dans les lieux très fréquentés comme les avenues de bord de mer, à la nuit tombée, passé 20h, les locaux se déplacent en véhicules plutôt qu’à pied. Nous recommandons aux voyageurs de faire de même.
Dans le cadre d’un voyage au Brésil, taxis et Uber seront les plus commodes en dehors des transferts organisés par votre agence de voyage. Voici quelques informations sur leurs fonctionnements au Brésil.
Comment prendre le taxi au Brésil ?
Il est très facile de prendre des taxis au Brésil et les chauffeurs souvent plutôt sympathiques. Les voitures sont normalisées et chaque ville à son code esthétique pour les taxis. Ne montez pas dans une voiture s’annonçant comme taxi mais ne respectant pas le code couleur local.
Si vous n’êtes pas au moins un peu lusophone, le mieux est de vous renseigner sur le prix moyen de la course auprès de la réception de votre hôtel et de demander au concierge de vous commander le taxi. À Rio, il existe des tableaux indicatifs du prix moyen d’une course entre différentes destinations distribués par l’Office du Tourisme RIOTUR. À bord, il est important de suivre l’horodateur. Celui-ci possède 2 tarifs en fonction de l’heure : « bandeira 1 » = le tarif de jour entre 06h et 20h et « bandeira 2 » = le tarif de nuit entre 20h et 06h, 20% plus élevé environ).
Dans les aéroports, il y a normalement un syndicat de taxis spécialisés qui peuvent être une alternative intéressante car payée à l’avance. Pour les utiliser vous achetez un ticket à un guichet dans le hall, le prix est déterminé par la zone dans laquelle se situe votre adresse de destination. Ensuite vous rejoignez le stationnement dédié et donnez votre coupon en échange duquel le chauffeur vous conduira à bon port.
Utiliser Uber au Brésil ?
Uber s’est installé et imposé dans toutes les grandes villes brésiliennes. C’est une alternative très bon marché aux taxis. Du fait de leurs tarifs avantageux, ils sont devenus très populaires. Si vous avez l’habitude d’utiliser ce service, il est tout à fait possible de se déplacer avec Uber au Brésil.
Cependant, une maîtrise minimum de la langue est recommandée pour pouvoir interagir avec le chauffeur et il ne faut pas hésiter à annuler une course si vous êtes dubitatif(ive) face à un chauffeur ou un véhicule.
Il faut également tenir compte du fait que vous serez débités sur votre Carte de crédit pour chaque somme séparément et comme achats à l’étranger. En fonction de votre contrat carte CB cela peut générer des frais et il est bon de vous informer de leur montant auprès de votre banque. Vous pouvez aussi opter pour la formule règlement en espèces mais dans ce cas-là assurez-vous toujours d’avoir l’appoint avant car les chauffeurs ont très rarement de la monnaie.
Quels pourboires donner au Brésil ?
Hormis les restaurants où ils figurent sur votre note sous la forme d’une taxe de service de 10% et les hôtels où il est de bon ton de donner 5 réals par bagage au bagagiste, les autres pourboires sont à votre discrétion. Ils doivent être donnés pour exprimer une satisfaction et n’ont aucun caractère obligatoire. Pour vous donner une idée, le salaire moyen est de 2500 réals environ.
Pour un guide accompagnateur francophone, un pourboire de 100 R$ par jour sera apprécié.
Pour un guide ponctuel avec une excursion à la demi-journée par exemple, entre 50 et 100R$ est adéquat.
Pour un chauffeur entre 20R$ pour un transfert et 100 R$ pour une journée à remonter les plages du Nordeste par exemple.
Remarque sur la ponctualité au Brésil
Le Brésil n’est pas la Suisse et la vision de la ponctualité n’est pas du tout la même qu’en Europe. Certains états et tout particulièrement dans la moitié nord du pays ont une vision culturelle très différente des contraintes horaires. Quand on vit dans ces régions, il n’est pas rare d’avoir des amis arrivant nonchalamment avec plus d’une heure de retard à un rendez-vous sans s’en inquiéter.
Même si les prestataires sérieux qui opèrent dans le tourisme international mettent l’accent sur la ponctualité et sont normalement à l’heure. Cependant il peut parfois y avoir des retards dans les rendez-vous qui vous sont fixés, notamment à cause d’embouteillages imprévus dans les capitales.
Dans ce cas il faut prendre un peu patience, rester calme face à l’apparent fatalisme local et vous dire que vous êtes dans un pays à la culture différente mais que ça n’empêche pas le professionnalisme. Si le retard perdure plus d’une vingtaine de minutes, entrer en contact avec votre agence pour faire le point avec elle.
